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mardi 18 novembre 2014

La Minute Féministe #4 : j'ai testé le cours d' "auto-défense féminine" !




"Si vous avez aimé, dites le sur Facebook. Si vous n'avez pas aimé, ne dites rien hahaha", plaisantait l'instructeur avant-hier après le cours. Et pour un propos nuancé, il y a une petite place quelque part ? ;)

Au fil de discussions avec des collègues, on en est venues à parler de cours d'auto-défense. Motivées, on se dit qu'on va s'y mettre, et on choisit une date sur le calendrier d'une association qui a pignon sur rue en la matière depuis 2011 : Ladies System Defense (ou "LSD", je ne sais pas si c'est de l'humour assumé ou une coïncidence...). À quelques jours du dimanche choisi, le programme a changé, j'y vais avec une amie féministe car mes collègues ont changé de plans entre temps.

Je pars avec un à priori, j'avoue...

Mon amie me prévient : elle a déjà fait un stage avec eux mais elle n'est pas à 100% convaincue, et des connaissances que nous avons en commun, non plus. Niveau "self défense" pur et dur, rien à redire. Mais dans le discours... quelques maladresses qui font grincer des dents. Cela ne m'a pas refroidie, j'aime bien me faire mon idée par moi même, lorsque je le peux.

À 14h, notre cours de 3 heures démarre donc, une fois que toutes les participantes ont réglé leur 30 euros (pour celles qui ont réservé, sinon, c'est 35e). Oui "participantes", c'est réservé aux femmes uniquement. C'est le concept même (ce pourquoi je ne critique pas ce point là, j'aurais pu aller ailleurs ayant connaissance de cette non mixité, cf mes bons/mauvais points plus bas) et j'avoue qu'il est assez plaisant de voir un groupe aussi divers réuni dans ce petit dojo... De la vingtaine à la cinquantaine, tous physiques, toutes origines confondues, nous sommes toutes réunies par un même ras-le-bol, une même volonté. (et au bout d'une demi heure, toutes dans le même état : en sueur^^)

Les quatre instructeurs (trois hommes, une femme, as usual) se présentent puis on commence par des échauffements ("Il est important de se garder en bonne condition physique", "le jour où l'on subira une agression, notre cœur va battre fort", donc on se met en condition, logique). On marche dans le dojo "comme on marcherait dans la rue", en gardant un œil sur l'un des instructeurs : on travaille sur notre vigilance. Au signal "un", c'est 5 pompes, à "deux", c'est 5 flexions et à "trois", 5 abdos ("c'est votre spécialité ça !"). On intensifie en trottant sur les tapis... 

De l'importance du vocabulaire avant de passer à l'action, et premiers froncements de sourcils...

Pfiouuuu je suis déjà en nage et il est temps d'attaquer les choses sérieuses, on nous sort des sacs de frappe : on va travailler les "coups d'arrêt". Ici on ne parle pas de "coup de poing/coude/genou pied" etc... 

Donc un "coup de pied dans les couilles" est un "coup d'arrêt partie basse du tronc". Apparemment, c'est important d'utiliser un vocabulaire comme celui-ci dans le cadre d'un dépôt de plainte ("obligatoire", nous martèle-t-on à plusieurs reprises durant ces trois heures... un poil culpabilisant, ahem). Pour ne pas que l'agresseur se retourne contre nous, ce qui est possible. Oui, comme disait Audiard "les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît" ! Ces précautions sont donc importantes, je comprends.

On nous explique la posture de défense à adopter : en appui sur nos jambes, souples et fléchies, les mains (ouvertes, signe d'apaisement contrairement aux poings... position d'attaque, donc). Face à nos binomettes, on commence à donner des coups dans le sac qu'elles tiennent : d'abord une main, puis l'autre, et les deux. On doit taper "derrière" le sac ("l'important, ce n'est pas la force, mais l'intention", je valide !), y mettre de la volonté plus que de la patate.

On alterne régulièrement les rôles, on prend confiance. Avant chaque nouveau geste, nos instructeurs nous font une démo, que l'on reproduit. À présent, c'est coup de coude, ou plutôt coup d'arrêt avec le coude (efficace et... libérateur, pour ma part !). On nous invite à crier ("si vous n'arrivez pas à crier ici, dans un environnement sécurisé, le jour où il faudra le faire, rien ne sortira" et c'est vrai que c'est important, de donner l'alerte...). Ce n'est pas évident, beaucoup perdent leur sérieux (et à la fois... c'est bon de rire, nerveusement, ça muscle aussi les abdos !) mais les "recule", "dégage", "connard", "casse-toi" ou simplement "aaaaaaaaaah" fusent.

On nous propose d'essayer "Restez à distance". C'est long, mais ça nous permet de bosser la respiration durant l'effort, et de maintenir une distance verbale avec le vouvoiement. Ce n'est pas facile, mais ça marche, à force. On enchaîne avec les coups d'arrêt avec nos jambes : coups de pieds, et coups de genoux (le truc le plus libérateur au monde, ais-je ainsi découvert...). 


Maintenant que nous maîtrisons un peu mieux ces gestes (les instructeurs sont passés dans les rangs pour regarder ce que nous faisions afin de nous corriger à l'aide de conseils pratiques)... on simule des situations d'agression. Celles qui tiennent le sac de frappe se mettent debout d'un côté de la salle et les autre, attendent en face, assises. On doit alors marcher vers elles, et elles, se relever et se défendre.

On augmente la difficulté de la tâche, toujours en alternant les rôles pour chaque scénario, en faisant courir "l'agresseuse" puis en faisant s'allonger "l'agressée". Visiblement, on a développé quelques réflexes. Les coups d'arrêt viennent naturellement, on les enchaîne... punaise ce que ça fait du bien. Très clairement, on apprend en se dépensant et en se défoulant : le sac de frappe prend pour tous ceux à qui on n'a jamais osé répondre, tous ceux dont on a subi les mains aux culs sans oser plus que le regard noir !

Mises en situation

Je crie toute ma rage, je frappe tous mes agresseurs du passés. C'est trop bon.
Vraiment, c'est la partie du cours que je préfère ! Mais... on ne tient pas trois heures comme ça, c'est évident. On enchaîne donc avec des mises en situations, scénarisées.

Bénédicte, l'instructrice, fait la plupart des démos (elle envoie !), dans diverses situations, pour nous montrer quelques exemples de gestes pour se dégager et maîtriser notre agresseur si... on nous attrape par la main, la taille, les cheveux, si on essaie de nous étrangler contre un mur. Puis on pratique, un à un et toujours à tour de rôle avec nos partenaires, ces techniques.

Lors d'une de ses démos, notre instructrice enchaîne son agresseur jusqu'à la clé de bras, une fois qu'il est au sol... C'est bôôôô, et je ne peux m'empêcher de faire de lancer un slow clap. La salle suit, super moment^^ 



L'ambiance est bon enfant, on rigole bien. Les instructeurs précisent en riant que la seconde partie de cette démo était "pour rire", car ici, on nous apprend la légitime défense ("et non la vengeance", bien sûr), afin de rester dans le cadre de la loi : une fois que l'on a maîtrisé celui ou celle qui s'en prend à nous, on file. Le but est de se soustraire à l'agression, pas de s'acharner... même si franchement... ça peut être tentant.

Après ces exercices, d'autres suivent. C'est la "préparation mentale" (qui suit les préparations physique et technique). On éteint les lumières de la salle, l'éclairage est entre chien et loup, on se remet à marcher aléatoirement dans la salle. Nos quatre instructeurs du jour simulent alors diverses agressions verbales ou physiques : à nous de jouer. Sans sombrer du côté obscur non plus, ils nous demandent aussi l'heure, pour nous rappeler que la parano totale, c'est un piège à éviter.

Pour ma part je me fais bousculer plusieurs fois, mais j'arrive à éviter le "conflit". Il paraît que je sais bien désamorcer un possible accrochage par la parole... des années d'expérience^^ Mais lorsque ça en vient aux mains, je vois que j'ai effectivement développé quelques automatismes : je me dégage et, étrangement, c'est le coup d'arrêt partie basse made in mon genou droit qui revient. Si un jour je ne peux pas éviter une situation où je devrai en venir aux mains, j'espère que ça me reviendra aussi facilement ! En attendant... je vais sans doute continuer à "m'entraîner" régulièrement.

Les quinze dernières minutes du cours sont consacrées à des questions-réponses. On évoque notamment la possibilité/nécessité des témoins de réagir, on parle de la "dissolution de la responsabilité", qui me fait fort penser au Projet Crocodiles dont j'ai la BD dans le sac ce jour là (je vous en reparle très vite !). 

Globalement, je suis très satisfaite des trois heures que je viens de passer :)

Mon avis

(J'essaie de ne pas m'épancher plus que je ne l'ai fait ci-dessus, c'est pas gagné.. le style télégraphique ne me sied point.)

Les plus

- C'est un très bon cours pour survoler différentes techniques de self défense.
- C'est physique mais pas insurmontable pour une feignasse comme moi (ça fait deux jours, je suis encore courbatue malgré les litres de flotte que j'engloutis)
- C'est un défouloir absolument parfait, on ressort plus légère, dans tous les sens du terme...
- C'est convivial, on s'amuse franchement, par moments.
- C'est bien organisé, les équipements sont vraiment là et les intervenants sont de vrais pros dans le domaine de la self défense (certains sont gendarmes).

Les moins

- Le prix. J'avoue que pour de l'associatif je m'attendais à moins. Certes, si c'est juste une fois, 30 euros, ça va. Mais si on veut y aller toutes les deux semaines, à chaque stage, ça commence vite à piquer.
- Le discours un peu bancal, par moments*, sur la violence faite aux femmes.

(* je ne peux pas m'en empêcher :
- En guise d'intro, on nous a plus ou moins dit que bon, la société et les hommes sont comme ça donc c'est important qu'on sache se défendre car on ne changera pas ça... Certes ce n'est pas le rôle d'un cours de self défense de prêcher la parole égalitariste mais être fataliste à ce point et dans ce contexte, je trouve que perso, ce n'est pas terrible. Mais ce n'est que mon avis.
-Sur la brochure, d'un côté parler des "violences faites aux femmes", et de l'autre énumérer les conseils bateau style "ne pas marcher dans une ruelle sombre seule le soir"... on nous abreuve de ces conseils là depuis qu'on est petites, "nous les femmes", on le sait. Donc c'est un peu de notre faute finalement, s'il nous arrive un truc alors qu'on avait pas d'autre choix que de passer par la dite ruelle louche. Je caricature, mais je veux dire que c'est lourd de toujours revenir à l'idée de bricoler des solutions/gadgets pour éviter aux femmes de se faire harceler/agresser/violer plutôt que d'éduquer/sensibiliser les potentiels harceleurs/harceleurs/violeurs qui sont les seuls responsables de ces violences. Ça part d'un bon sentiment, un poil paternaliste certes mais quand même, mais en entretenant ainsi sans en avoir l'air le mythe de "l'homme prédateur" (#notallmen oui on sait, next) on ne fait que mettre un pansement sur une plaie qui nécessiterait de solides points de suture.
- Dire "on DOIT aller porter plainte" ou "c'est OBLIGATOIRE" de porter plainte... perso, ça me gêne. Oui, c'est vrai que c'est mieux dans l'absolu, mais c'est amené de manière culpabilisante pour la potentielle victime.
----> D'autres petites phrases du genre m'ont fait tiquer, c'est une liste non exhaustive car j'ai la fâcheuse tendance à me concentrer sur le positif, et il y en avait beaucoup à côté de ces points négatifs. Des connaissances ont fait d'autres cours et ont relevé d'autres choses qui les ont énervées mais je n'en parlerai pas ici car je ne relate que ma propre expérience du bout de mon clavier, c'est plus juste.)

Ce que j'en retiens

Bisounourse d'un jour, bisounourse toujours : je vois toujours le verre à moitié plein. Je suis persuadée que ces quelques couacs qui ont eu le don de me faire grincer des dents étaient vraiment des maladresses et j'espère que les instructeurs, s'ils me lisent, ne prennent pas mal mes critiques. J'ai bien conscience de l'investissement que peut-être une asso et je suis reconnaissante de leur engagement, qui contribue grandement aux "plus" de ma petite liste ci-dessus :) 

Néanmoins, je suis tout aussi persuadée que tout cela est perfectible, dans toute la connotation positive que ce terme est sensée avoir. À mon sens, il suffit simplement de choisir entre le fait de se limiter à enseigner ces techniques sans essayer de philosopher en risquant de tenir des propos borderline, ou de creuser le sujet des violences faites aux femmes encore bien plus, pour pouvoir en parler vraiment, sans tomber dans certains travers stéréotypés.

Bref. Est-ce que je reviendrai ? Oui, avec plaisir. Mais toujours mon sens critique de féministe en alerte dans la poche ;)


À demain pour un retour à plus de légèreté, côté sujet aussi bien que côté texte :p


Self-défense-ment vôtre,


Olga



PS : Petite parenthèse mi-futile mi-coup de pub-ile pour finir, mirez plutôt la cohabitation de deux modèles de tees Colère : Nom Féminin sur ma binomette du jour et moi-même ! Pas mal hein (merci à notre instructeur pour la photo) ? :D








mercredi 13 août 2014

J'ai testé les "papillotes" pour boucler mes cheveux #sanschaleur



Puisque la décoloration/coloration rose a bien abîmé mes cheveux, autant ne pas aggraver la situation. Me suis-je dit. C'est bien pour ça que j'ai eu envie de tester des méthodes pour boucler mes cheveux sans chaleur... et sans investissement financier supplémentaire^^ 




 
J'ai donc eu envie de tester la méthode des papillotes (c'est aussi effrayant en vrai que ce qu'à l'air de voir mon chat ci-dessus mais ça vaut le coup, promis), que j'ai découverte ainsi, sur la châine Youtube d'Esther : Se Sentir Belle...


 


Elle explique tout ceci bien mieux que moi mais en gros : on utilise des feuilles d'essuie tout pliées en bandelettes comme des bigoudis. Sur cheveux secs ou humides, selon. On enroule nos mèches autour puis on noue le tout en haut du crâne puis on laisse poser ça quelques heures, ou... la nuit. 

Premier essai [pas de photo, gros fail^^] : sans réfléchir, je fais de toutes petites mèches... sauf que le tuto, et les autres que j'ai vus, montrent des femmes aux cheveux longs voire très longs... résultat logique de l'expérience, je me retrouve avec une "couronne" afro autour du crâne, mi-Bozo (le clown) mi-Krusty (le clown).

Je passe bien une demi heure à brosser, humidifier, lisser, fondre mes mini bouclettes en une seule grande... Pour retrouver un aspect décent. Au final, c'est même joli, même si c'est loin des ondulations rétro de Dita Von Teese dont je rêvais à la base^^

Les autres essais, je les ai faits avec des "papillotes" plus épaisses et moins nombreuses : c'est par-fait. Je suis particulièrement fan de mon "one shoulder" ou "side hair" ci-dessous, où j'ai un côté plaqué (raté en fait mais on n'en parlera pas) et l'autre bien bouclé !

Question tenue, à moins que l'atmosphère soit vraiment chargée d'eau : ça tient quelques jours (même sans laque), tout en se relâchant petit à petit. Je suis vraiment ravie de cette découverte, que je vous recommande "chaudement" (I'm so funny).





Alors, tentées pas cette méthode "de mamie" ?



Papillote-ment vôtre,



Olga


jeudi 1 août 2013

Clarisonic : bilan après un mois d'utilisation










Juste avant Noël, j'avais remporté ce fascinant outil qui fait toujours autant le buzz lors d'un challenge. Et puis je l'ai offert. Voyant au fur et à mesure mes collègues (l'ayant gagné aussi) vanter les mérites de l'appareil et voir leur peau changer au fil des jours, j'ai décidé de lui donner une seconde chance. Aussi, cela fait déjà un mois que j'utilise quotidiennement les vibrations "soniques" (ça oscille, pas de rotation ! donc pas irritant ;) ) de Clarisonic pour nettoyer ma peau. Je le fais une fois par jour et non deux, car ma peau est réactive donc pas besoin de faire de ce rituel quelque chose de contreproductif en excitant les glandes sébacées. Parce que oui, sensible et déshydratée mais quand même mixte, la couenne de la m'selle... J'ai décidé de l'utiliser le soir, pour parfaire le nettoyage de ma peau après démaquillage à l'eau micellaire, et bien sûr booster l'efficacité de mes soins ensuite. Logique. Dans la pratique, c'est très simple : dès que l'on déclenche le Clarisonic, il se lance dans une minute de vibrations séparées en trois zones ordonnées par des bips histoire de ne pas avoir à compter soi-même^^ :
20 secondes sur le front, 20 secondes sur le nez et le menton et 10 secondes sur chaque joue. Au bout d'une semaine, j'ai commencé à promener la brosse sur mon visage sans me soucier de ces consignes là. Ben je vous prie de me croire que des petits boutons sont apparus immédiatement sur mes joues ! Et repartis aussi vite dès que j'ai repris le "droit chemin". Ou était-ce simplement l'action dans le temps du Clarisonic, qui a juste fait "remonter" les s*l*per*es cachées en profondeur à la surface pour les évacuer ? C'est une théorie qui circule dans les commentaires des utilisatrices sur la toile. Dans tous les cas, je suis passée sur la brosse "peaux très sensibles" après mon premier essai avec embout "peaux normales". Aoutch. Je privilégie également de grands mouvements amples, car les petits mouvements circulaires localisés qu'on nous préconise sont un peu irritants pour moi personnellement.






Ce qui m'a convaincue, avant de l'acheter, c'est cette image sur le packaging, ci-dessous. Qui se passe de commentaires........ Mais que je commenterai quand même. En disant que punaise, la sensation de folie que j'ai après cette minute de nettoyage, je pourrai doubler une pub pour paic vaisselle tellement ma peau "grince" quand je passe mon doigt dessus (uuuuuhi !)^^ Oui, elle est d'une propreté que je n'ai jamais atteinte/ressentie auparavant, quels que soient les produits que j'ai testés. Du coup, j'ai gardé mon nettoyant doux Neutrogena, que j'utilise avec. J'ai également testé le gel nettoyant de la marque Clarisonic vendu dans le coffret lors de mon voyage aux USA (pratique ce petit format :p) et il ne m'a pas déplu.








Avant de conclure, parlons de l'entretien. Côté batterie on nous demande de charger la bête (je l'ai prénommée Clarisse, facile) pendant 24h donc c'est un peu contraignant, mais du coup on est tranquille pendant 24 jours à une utilisation par jour ou pendant 12 jours à deux utilisations par jour. J'étais large pendant mon voyage (merci la coque en plastique protectrice du kit :) ), et j'ai apprécié de ne pas avoir à me trimbaler le chargeur. D'ailleurs assez bien fichu : il s'émante à cet appareil, pas de prise vu que celui-ci est waterproof (ouiiiiiiiiii je l'utilise sous la douche, c'est parfait !!!)... Côté brosses : on nous recommande de les changer tous les 2/3 mois. Mais il faut voir aussi combien de fois par jour on l'utilise, et puis c'est comme une brosse à dent, ça se voit quand il faut la remplacer quand même ! Parce que 25 euros, ça pique quand même, disons le franchement. Bien penser à rincer et à sécher l'appareil entre deux utilisations également...









Donc voilà, après un mois d'utilisation du Mia2, je peux dire que je regrette absolument pas mon investissement, loin de là. J'ai vu ma peau gagner en éclat, mes pores se resserrer et mes rougeurs s'estomper grâce à un rituel peu contraignant... Prochain bilain dans 11 mois, histoire de vraiment voir sur le long terme ;)



Bisous les filles, j'espère que cet article vous a plu et que j'ai été précise (le décalage horaire est encore maître de moi, j'ai un peu de mal^^), n'hésitez pas à poser vos questions en commentaire j'y répondrai avec plaisir, comme toujours !
















PS : Concours Eyes On The Prize clos hier soir/ce matin^^ à minuit, je m'occupe du tirage au sort ce week-end, stay tuned ! ;)







mercredi 17 juillet 2013

L'effet faux-cils YSL : un vrai coup de bluff ? [test]





Le mascara "Volume Effet Faux Cils d'Yves Saint Laurent" est une référence. Malgré le fait qu'il soit connu pour sécher trèèèèèèèès vite (épais car volumateur, logique) les clientes (pour les nouveaux venus je travaille en parf') sont fidèles, voire même carrément accros. Souvent quand je trouve qu'une collègue a vraiment de beaux cils, sa réponse à la question "c'est quel mascara que tu utilises ?", est toujours la même, vous l'aurez deviné, c'est bien le sujet de notre test du jour... Je compare donc l'effet faux-cils à un mascara "quelconque", en l'occurrence un allongeant de chez Bourgeois que j'ai acheté en soldes à vraiment pas cher l'hiver dernier, l'Elastic.






Déjà rien qu'à la vue de la brosse, on a une petite idée de ce qui va se passer ensuite. Personnellement, je les fuis d'habitude ces fibres fort fort chargées, par peur du paquet !






Me voici donc "nue". Rien sur le teint, rien sur les yeux.






Voyez plutôt : à gauche (la vôtre) l'Elastic, à droite (toujours la vôtre) l'Effet Faux Cils. L'occasion également de reconstater les miracles que fait la combinaison BB Crème Erborian + poudre HD MUFE en revoyant les cratères sur ma peau non maquillée. Mon dieu vite vite vite je cours me retartiner :p








Elastic :







Faux Cils :








 
Oui, la différence est nette si l'on regarde de près, mais rien de si "bluffant" que ça finalement. Le secret visiblement, c'est de le "travailler" (encore la réponse obtenue par celles qui l'utilisent). Mais comme pour tout mascara finalement, pour arriver au résultat que l'on souhaite. Et comme perso hors de question d'avoir les cils tout collés, superposer les couches est exclu ! Comment avoir le beurre, l'argent du beurre, et le crémier ? Vous avez la solution vous ?^^












PS : N'oubliez pas le concours Concours Eyes On The Prize !

 


Concours Eyes On The Prize !
 

 
Un mascara Dior, un mascara Smashbox et un mini mascara Chanel à gagner, concours ouvert jusqu'au 31 juillet ;)






jeudi 4 avril 2013

BB, CC... késsessé ??! [Erborian Inside]






 



Bon, je vous en ai déjà parlé sans pour autant détailler, depuis novembre 2011, la BB Crème au ginseng d'Erborian est mon âme sœur make-upesque ! Hydratante, matifiante, couvrante et d'une juste la teinte parfaite pour ma peau de blanche neige très sujette aux rougeurs... et bien moins visible qu'un fond de teint ! Si j'aime peinturlurer mes yeux d'une épaisse couche d'eyeliner noir, je préfère en revanche maintenir une sorte d'illusion qui ferait croire que j'ai vraiment une peau de bébé. Donc il faut du light ! Bref, le Blemish Balm était fait pour moi. Alors lorsque l'on m'a annoncé l'arrivée de la Correcting Cream, plus axée soin et plus légère en "couleur", passé le soupir de "ohlala ils nous saoulent à surfer sur cette vague de succès, la prochaine c'est quoi, la QQ Crème pour la peau des fesses ??!" j'ai été très curieuse de l'essayer...






Je vous montre tout d'abord sur la main : pigments caméléon pour la CC, couleurs au choix (light et dorée) pour la BB...






Mais voyez plutôt sur mon avant bras : au niveau du poignet, la BB est invisible car bien claire, mais un peu plus loin, cette tâche orange... c'est la CC ! Je les hais ces prétendus pigments adaptatifs totalement discriminants qui encouragent la mode du teint oompa-loompa blindé de terracotta... :'(






Voici sur le visage, difficile de saisir la nuance avec cette lumière, mais on voit nettement que c'est plus jaune, et moins couvert au niveau de la base des cheveux. A gauche (la vôtre^^) la BB, à droite (toujours la vôtre) la CC.





On voit mieux avec le flash...








Et comme je ne veux pas finir sur cette horrible image, je remets celle du début^^








Pour conclure, je dirai donc que cette CC est agréable en texture et a bel et bien cet effet hydratant, lissant et correcteur d'imperfection mais sa couleur est limitante pour les teints clairs. A voir pour l'été si j'arrive à me ré-exposer sans attraper d’œdème car effectivement c'est léger et agréable à porter... Affaire à suivre :)

Bisous les filles et bonne soirée !






mercredi 20 février 2013

nouveau : le kit sourcils Sephora !




 
Il est vrai que derrière ma frange, je pourrais aisément laisser mes sourcils s'épanouir en une jungle qu'il faudrait alors de temps en temps traverser à la machette ou autre coupe-coupe, mais il n'en n'est rien. Un coup de vent inopportun est vite arrivé. Jusqu'ici j'ai toujours utilisé des crayons, pratiques et peu chers... tout en salivant d'envie devant les kits Benefit, Shiseido ou encore les  Aqua Brows de Make Up For Ever, et surtout le résultat visible au dessus des yeux de certaines de mes collègues !  Mais pour l'usage que j'allais en faire, les prix (30 euros et plus) étaient carrément prohibitifs. Alors lorsque Sephora a décidé une fois de plus de... s'inspirer largement dirons nous, de ses marques exclusives en créant ce kit sourcils à 14,90 euros, je n'ai pas hésité une seule seconde.








Dans ce fameux kit, il y a donc une cire fixante, deux fards, un pinceau biseauté sourcils, une brosse et une pince à épiler. On dessine d'abord un contour invisible de cire sur son sourcil (et surtout dans les trous que l'on souhaite combler) puis on choisit sa teinte dans les fards (perso je mélange) pour venir les apposer par-dessus.








Le résultat est sophistiqué mais naturel, et surtout, j'ai enfin ce "bout" de sourcil droit ! Que je n'arrive pas à faire autrement que rond et bizarre avec mon vieux crayon Yves Rocher^^ Certes, j'aurais pu y arriver avec un simple pinceau sourcils et n'importe quel fard marron, mais j'aime beaucoup l'idée de la cire fixatrice, et du kit très pratique à emmener partout. Voui, il est en ce moment même avec moi en Russie :P










Certes, je me répète, mais sous une frange, la différence n'est plus que nuance. Mais je vous assure qu'elle a son importance ;)









Vous la voyez ?^^





jeudi 24 janvier 2013

j'ai enfin un bon lisseur !









 

Cela faisait presque deux ans que je devais réprimer quotidiennement de grosses crises de jalousie en voyant mes collègues se boucler les cheveux avec le lisseur dans les vestiaires, nonchalamment, tout en faisant autre chose... Et que moi, non seulement mon lisseur ne lissait pas comme je le voulais, mais en plus lorsque je m'essayais aux boucles, je finissais avec des zigouigouis tout carrés qui ne ressemblaient à rien ! Alors quand j'ai vu ce lisseur Sephora, dont mes copines se servent, soldé à 20 euros au lieu de 90, autant vous dire que je n'ai pas hésité longtemps :P

It's been almost two years of repressing my jalousy everyday towards my colleagues curling their heir with their hair straightner not even thinking about it, doing other things at the same time... While not only I couldn't curl my hair with mine at home but curls were just out of the question ! Every time I tried, I ended up with square ugly curls ! So when I saw this Sephora hait straightner on sale, 20 euros instead of 90, I didn't hesitate much :P







Me voici le soir même, en pyjama, surexcitée, immortalisant un premier essai fructueux tant attendu devant le miroir de la salle de bain. Boucles vers l'extérieur.

So here I am the same day, overexcited in my PJs, taking a picture of this first victory in my bathroom. Curls looking outside.










Quelques jours plus tard, une version que je préfère : boucles vers l'intérieur.

A few days later, curls looking inside.










Et bien sûr, cheveux lisses et dociles également au menu !
Oui, cette photo est un teaser du look de demain, c'est vrai, hihi ;)

And of course straight, disciplined hair is also in the menu !
Yep, this picture is a teaser of tomorrow's look, that's true ;)






 
Et vous, quel est votre outil capillaire préféré ?

What about you, what's your favorite hair tool ?






mercredi 28 novembre 2012

de l'importance de la base...


 
... pour les fards à paupière ! Ben oui je sais, la base, c'est la base quoi^^... Make-upistas averties ne me jetez pas la pierre, mais je me suis souvenue il y a peu de temps que lors de mes tous premiers jours en parfumerie, des clientes m'en ont demandé, et je ne savais alors même pas que ça existait ! Enfin, j'ai comblé cette lacune assez rapidement, et je suis devenue accro à la primer potion d'Urban Decay. Donc aux accros du fard à paupière qui s'ignorent encore peut-être, je tiens à passer le flambeau ;)




 
Je récapépète donc les vertus miraculeuses de ce produit : il permet aux pigments du fard de mieux "accrocher" à la paupière, ce qui signifie non seulement une couleur plus intense visuellement mais aussi et surtout une tenue impeccable ! Exit les plis de la paupière qui absorbent toute la couleur ;) Et petite anecdote rigolote (enfin ça dépend pour qui) : un jour l'été dernier on m'a poussée toute habillée dans la piscine, ben le mascara non waterproof il n'a pas manqué de dégouliner, mais mon smoky a tenu le coup lui ! Bon attention hein c'est pas fait pour, mais quand même, c'est vraiment efficace.
La preuve en images. En bas, les fards à même la peau, en haut, sur la base. Bluffant hein ?!







Seul "bémol" à mon sens : l'application. Sur une paupière nue on peut étirer la matière très facilement, mais comme la base accroche, c'est plus difficile donc il vaut mieux appliquer en tapotant, et ce n'est pas aussi simple ;)


A demain pour de la mode les girls ! Je vais vous faire la danse du ch'val, comprenne qui pourra^^